Une étude menée en 2013 par des chercheur-euses en neuroscience démontre que gagner un affrontement agressif augmenterait la probabilité de remporter d’autres conflits par la violence (1). Ce phénomène, connu sous le nom « d’effet vainqueur » (winner effect), a été largement étudié chez nos amis les hamsters syriens (Mesocricetus auratus), que l’on remercie pour leur contribution (qui consiste a avoir été maltraités pour prouver que nos responsables nous maltraitent).
Après une période d’entraînement de 14 jours, les hamsters ont montré des comportements plus intenses et « vigoureux », avec des postures dominantes accrues, par rapport aux hamsters sans expérience sociale préalable. Ces comportements suggèrent que l’expérience des combats pourrait, à terme, modifier la chimie de leur cerveau.
Pour explorer cette hypothèse, les chercheur-euses ont examiné les cerveaux des hamsters agressifs et ceux des hamsters qu’ils décrivent comme « naïfs » (tel le jeune stagiaire idéaliste que je fus et qui se heurta très vite aux égos surdimensionnés des winners de la self made man academy) pour détecter des changements dans l’innervation dopaminergique, jouant un rôle clé dans le comportement social et la motivation.
Ils ont notamment observé des modifications de la tyrosine hydroxylase, une enzyme essentielle à la production de dopamine, dans les régions cérébrales impliquées dans la prise de décision sociale.
Ces augmentations de l’agressivité après des victoires répétées pourraient être le résultat d’un comportement appris, renforcé par une activité accrue des neurotransmetteurs. Les résultats suggèrent la présence d’un « effet vainqueur » chez les hamsters et fournissent des preuves d’un mécanisme neuronal à l’origine des changements de comportement agressif après des affrontements répétés.
En d’autres termes, le cerveau des hamsters s’adapte et se transforme en réponse à leurs succès dans les combats, renforçant ainsi leur comportement agressif pour les confrontations futures.
Dans une culture de la « win », de la performance, de la compétition et de la prédation, nous sommes en droit de nous aider des sciences humaines pour tenter de savoir si, nos sociétés ne seraient pas gouvernées par des hamsters de laboratoire ?
Ce qui expliquerait peut-être la constance de nos chères responsables politiques, managers et autres « bourreaux bienveillant-es » à ne jamais reconnaître leurs torts et à persévérer dans leurs dérives autoritaires, entraînant avec elleux, les gros loosers que nous sommes.
La prévalence néfaste de la compétition sur la collaboration dans nos sociétés
Les structures économiques contemporaines favorisent intrinsèquement la compétition et créent donc, des « perdant-es » (majoritaires) et des « gagnant-es » (sureprésenté-es médiatiquement). (2)
Le capitalisme, qui repose sur la concurrence des ressources et la maximisation du profit, incite les entreprises et les individus à rivaliser pour obtenir des parts de ce profit (bien qu’une très faible majorité capte quasiment tout), des opportunités d’emploi et des positions sociales « plus élevées ». Si vous avez réussi, « c’est grâce à vos efforts sinon, pas de chance, il faut changer de mindset ».
Cette valorisation de la « win » se manifeste dans le système éducatif, les pratiques professionnelles, le développement personnel et les récits médiatiques qui glorifient les réussites individuelles souvent au détriment de la coopération collective. Les héro-es sont souvent celleux qui ont « réussi-es seul-es », renforçant l’idée que la compétition est le chemin vers le succès.
Lire notre article : Pour en finir avec le mérite
Dès le plus jeune âge, les enfants sont évalué-es et comparé-es les un-es aux autres à travers des notes, des classements et des tests standardisés par les élites (et donc favorables à ces dernières). Cette approche met l’accent sur la performance individuelle plutôt que sur la collaboration et le travail d’équipe, préparant ainsi les individus à un monde où la compétition (inégalitaire) est la norme.
La pression constante pour réussir et surpasser les autres génère un stress significatif, qui peut mener à des problèmes de santé mentale tels que l’anxiété, la dépression et l’épuisement scolaire/professionnel. La peur de l’échec et le besoin constant de se comparer aux autres exacerbent ces effets. Les individus sont encouragés à se concentrer sur leurs propres succès, souvent au détriment des relations sociales et de la solidarité.
L’ivresse du pouvoir : quand des comportements pathologiques affectent la santé et la sécurité de toute une population
La notion de folie est intrinsèquement relative et varie considérablement selon les contextes et les époques. Ce qui est perçu comme une forme de folie dans une société ou une période historique particulière peut être considéré différemment dans une autre. Les normes culturelles, les avancées scientifiques et les cadres sociaux influencent grandement notre compréhension de la santé mentale et des comportements déviants.
Dans cet article, nous préférerons donc parler « d’ivresse du pouvoir » pour éviter de stigmatiser et de regrouper d’innombrables pathologies sous un terme bien trop vague (même si nous pensons que certains hamsters sont de véritables taré-es).
L’ivresse du pouvoir donc, correspond à des comportements pathologiques affectant gravement la santé et la sécurité de toute une société.
Syndrome de l’Hubris

Le syndrome de l’hubris est un concept psychologique et psychiatrique intéressant qui décrit un ensemble de comportements et d’attitudes caractéristiques de certains individus occupant des positions de pouvoir. Le terme « hubris » trouve son origine dans la Grèce antique, où il désignait une forme d’arrogance excessive, de fierté et de confiance en soi qui mène souvent à la ruine (3).
Dans un contexte moderne, le syndrome de l’hubris se réfère à une condition où le pouvoir et le « succès continu » (dans un système truqué) tendent à corrompre le jugement et à influer négativement sur le comportement des dominants.
Le concept a été popularisé par le neurologue et ancien politicien britannique David Owen dans son ouvrage The Hubris Syndrome: Bush, Blair and the Intoxication of Power. Owen décrit ce syndrome comme une forme d’ivresse psychologique provoquée par le pouvoir, caractérisée par une perte de contact avec la réalité, une conviction démesurée en ses propres capacités, et une tendance à prendre des décisions impulsives et risquées sans considération pour les conséquences.
Les principaux symptômes du syndrome de l’hubris incluent :
- Arrogance excessive et confiance en soi : Les individus affectés manifestent une conviction inébranlable en leur propre jugement et en leurs capacités, souvent au mépris des avis extérieurs et des conseils prudents.
- Perte de contact avec la réalité : Ils peuvent développer une vision déformée du monde et de leurs propres actions, se voyant comme infaillibles et au-dessus des règles qui s’appliquent aux autres.
- Dévalorisation des autres : Une tendance à mépriser ou à ignorer les contributions et les opinions des autres, considérant leurs propres idées comme supérieures.
- Prise de risques inconsidérée : En raison de leur confiance excessive, ces individus peuvent entreprendre des actions dangereuses ou imprudentes sans évaluer adéquatement les risques.
- Manque d’empathie : Un détachement émotionnel et un manque de considération pour les conséquences de leurs actions sur les autres.
- Désir de gloire et de reconnaissance : Une recherche constante de reconnaissance et de validation, souvent accompagnée d’une tendance à manipuler les faits pour embellir leurs réalisations.
Le syndrome de l’hubris n’est pas formellement reconnu comme un trouble mental dans les classifications psychiatriques standard. Toutefois, il est considéré comme une constellation de traits de personnalité et de comportements qui peuvent avoir des conséquences délétères, tant pour les individus concernés que pour ceux qui sont sous leur influence.
Le mythe de Néron : « après moi le déluge »
Le pouvoir absolu, comme celui détenu par Néron, tristement célèbre empereur romain, tend à isoler le/la dirigeant-e, à réduire les freins et les contrepoids et à encourager des comportements tyranniques et paranoïaques.
Néron a progressivement éliminé ceux qui pouvaient le contester, créant une cour entourée de sycophantes et de courtisans qui renforçaient son comportement autocratique. Cette absence de contre-pouvoirs et de conseils critiques a conduit à une escalade de ses comportements aberrants, incluant l’incendie de Rome, qu’il aurait allumé pour reconstruire la ville selon ses goûts, puis blâmant les chrétiens pour le désastre.
Si cette description vous rappelle quelques autocrates étudiés dans vos livres d’histoire ou tout autre personnalité contemporaine, qu’il s’agisse d’un responsable politique ou de votre manager, c’est vraiment pas fait exprès.
Impact sur le peuple et la société
Les actions de Néron ont entraîné des conséquences désastreuses non seulement pour lui-même, mais aussi pour Rome et son peuple. Son règne de terreur a créé un climat de peur et d’instabilité, conduisant finalement à des révoltes et à la chute de sa dynastie. Cela montre comment un « leader », pour reprendre le champ lexical des managers de la start-up nation, peut non seulement s’autodétruire, mais aussi causer des dommages considérables à la société qu’il gouverne.
Des élites hors-sols et totalement déconnectées de la réalité

La perte de connexion avec le réel peut expliquer le cruel manque d’empathie des individus de pouvoir, qui souvent représentent une élite numériquement minoritaire. Cette déconnexion se manifeste par une série de facteurs contribuant à diminuer la capacité des leaders à comprendre et à empathiser avec les préoccupations des citoyen-nes ordinaires.
Le concept de « bulle informationnelle » a été théorisé par Eli Pariser, un activiste et auteur américain, dans son livre intitulé The Filter Bubble: What the Internet Is Hiding from You, publié en 2011. Pariser y explique comment les algorithmes de personnalisation, en filtrant les informations selon des critères supposés être en accord avec les préférences de l’utilisateur, peuvent involontairement cloisonner les individus dans des environnements informationnels homogènes.
Cette homogénéité informationnelle peut avoir des conséquences importantes sur la société, notamment en renforçant la polarisation politique et sociale, en limitant le débat public et en réduisant la capacité des individus à comprendre et à empathiser avec des perspectives différentes des leurs.
Toutefois, les élites n’ont pas attendus les algorithmes pour s’isoler totalement de la majorité des individus qu’ils essaient de gouverner. Leur isolement crée une monoculture élitiste où les expériences et les perspectives des autres sont absentes ou mal comprises. En l’absence de telles interactions, la capacité des politicien-nes à comprendre les réalités et les souffrances des autres s’atrophie.
Entouré-es de conseiller-es, de donateur-ices, de journalistes et de pairs de la même classe sociale partagent souvent des perspectives similaires, cela créer un effet de bulle où les idées et les croyances ne sont pas contestées.
Cela mène à une confirmation des préjugés et à une vision du monde biaisée qui marginalise ou ignore les réalités des classes moins favorisées. Les recherches en psychologie sociale, notamment celles sur la théorie de « l’identité sociale », indiquent très clairement que les groupes homogènes tendent à renforcer les croyances et attitudes internes, souvent au détriment de la compréhension des perspectives externes.
La bulle informationnelle, alimentée par les médias et les canaux de communication spécifiques à l’élite, contribue également à la déconnexion avec la réalité. Les politicien-nes des milieux bourgeois consomment souvent des informations filtrées par des médias qui reflètent et renforcent leurs propres intérêts et préoccupations puisque détenus et animés par des individus du même milieu social.
La théorie de l’agenda-setting est un concept central en études de la communication et des médias, développé dans les années 1970 par Maxwell McCombs et Donald Shaw.
En choisissant quels événements rapporter, en déterminant la quantité de couverture accordée à chaque sujet et en décidant comment ces sujets sont présentés, les médias peuvent orienter l’attention du public et façonner les discussions publiques. Par exemple, si les médias consacrent, au hasard, une large couverture à l’islam, ces questions sont susceptibles de devenir prioritaires pour le public, même si elles n’étaient pas initialement au centre des préoccupations.
Confusion entre « pouvoir » et « puissance
Spinoza définit la puissance comme la capacité intrinsèque d’un individu à agir conformément à sa nature et à ses capacités. Elle est liée à la notion d’autonomie et de libre exercice des capacités personnelles. La puissance, dans la pensée spinoziste, est donc fondamentalement positive et créatrice. Elle est l’expression de la force vitale et de l’essence de chaque être, permettant à chacun de poursuivre son conatus, c’est-à-dire son effort pour persévérer dans son être.
Le pouvoir, en revanche, est une construction sociale et politique. Il représente l’autorité exercée sur autrui, souvent par le biais de structures et d’institutions. Le pouvoir implique une relation de domination et de contrôle, où l’autorité de quelques-uns est imposée à la majorité. Le danger réside dans la confusion entre ces deux notions : les dirigeants croient souvent que le pouvoir (potestas) qu’ils exercent est une extension de leur puissance (potentia). Cela mène à une dérive autoritaire, où le pouvoir est utilisé non pour le bien commun mais pour la satisfaction personnelle et la consolidation de l’autorité individuelle.

L’ivresse du pouvoir peut être vue comme une aliénation de la puissance véritable. Lorsqu’un dirigeant devient obsédé par le contrôle et la domination, il perd de vue sa propre nature et sa capacité à agir librement et rationnellement. Spinoza souligne que cette aliénation mène à la servitude intérieure. Les dirigeants qui cherchent à accumuler le pouvoir deviennent esclaves de leurs passions et de leurs ambitions, perdant leur autonomie et leur capacité à agir de manière éthique et rationnelle.
Un-e dirigeant-e véritablement puissant, selon Spinoza, serait celui qui agit en harmonie avec sa propre nature et celle de ses concitoyen-nes, cherchant à augmenter la puissance collective plutôt qu’à exercer une domination autoritaire. La bonne gouvernance, dans ce cadre, consiste à créer des conditions où chacun peut réaliser son potentiel et participer activement à la vie commune.
Les individus de pouvoir n’acceptent pas leur finitude (et préfèrent tout détruire)
La tentation de se voir au-dessus des lois naturelles pousse certain-es à croire qu’ils peuvent tout contrôler et perdurer indéfiniment (coucou le transhumanisme). Les personnalités narcissiques, fréquemment attirées par le pouvoir, ont une propension à refuser leur finitude. La destruction de tout ce qui pourrait menacer leur contrôle sur eux-mêmes ou le monde qui les entoure devient alors une stratégie de préservation de leur égo.
Que cela conduise, in fine, à l’exploitation excessive des ressources naturelles, à la dégradation des écosystèmes, à l’augmentation des inégalités, ielles s’en moquent. On le voit chaque jour, ielles sont tout à fait disposé-es à adopter des mesures extrêmes : suppression des libertés civiles, persécution des minorités et des opposants politiques, dévoiement du langage, mensonge, etc. au profit de la préservation de leur pouvoir, souvent illégitime et maintenu grâce à la peur et à la violence.
Lorsque les populations perçoivent que les élites sont plus intéressées par leur propre survie et leur pouvoir que par le bien-être collectif, la confiance dans les institutions s’effondre, ce qui peut mener à des bouleversements sociaux majeurs (en mieux comme en pire).
La théorie de Vilfredo Pareto, sociologue et économiste italien du XXe siècle, est assez éclairante sur ce sujet. Elle suggère que la quête de pouvoir et la lutte entre différentes élites sont inévitables et perpétuelles. Les élites, une fois au pouvoir, cherchent avant tout à préserver leur statut, souvent au détriment de l’intérêt général. Cependant, cette quête de préservation est précisément ce qui conduit à leur remplacement lorsqu’elles échouent à s’adapter aux nouvelles réalités sociales et économiques.
Pour éviter les conséquences destructrices de la domination des dominant-es, une transformation profonde des structures de pouvoir est donc nécessaire.
Déconcentrer le pouvoir par la démocratie
Contre-pouvoirs
« Je suis un pessimiste au sens où je ne pense pas que nous puissions nous débarrasser de l’État. Il s’agit d’une forme d’organisation politique à laquelle il est pratiquement impossible d’échapper.
James C. Scott, anthropologue spécialiste de l’anarchisme
Nous sommes coincés avec l’État. Du recensement aux cartes nationales d’identité en passant par l’affectation des emplois, les instruments de contrôle et de connaissance de l’État se sont accrus de manière exponentielle, ainsi que son contrôle physique du territoire, ce qui fait qu’il existe de moins en moins d’options pour, comme au temps de la Zomia, partir se réfugier dans des collines ou des marais où l’État ne peut pas vous rattraper.
La question n’est plus d’échapper ou non à la confrontation avec l’État, mais de savoir si nous pouvons le domestiquer, le plier à nos objectifs plutôt qu’à ceux de ses dirigeants… ».(5)
En attendant que l’abolition de l’état advienne, le renforcement de la démocratie au sein de l’état est un premier pas plus pragmatique vers lequel nous pouvons tendre. En déléguant le pouvoir et en le répartissant entre diverses instances, une démocratie en bonne santé atténue les risques associés à la concentration excessive de pouvoir.
En permettant aux citoyen-nes de s’exprimer par le biais des élections, des référendums et des consultations publiques (et non en faisant semblant), la démocratie dissout partiellement le risque « d’ivresse du pouvoir ».
Diluer et décentraliser le pouvoir à toutes les echelles
La nécessité de décentraliser le pouvoir et de le répartir plus localement est une composante cruciale pour une gouvernance réellement représentative. La décentralisation permet de mieux comprendre et répondre aux préoccupations quotidiennes et aux enjeux locaux, tout en renforçant la participation citoyenne et l’efficacité administrative.
En outre, la décentralisation encourage une plus grande participation citoyenne. Lorsque les décisions sont prises à un niveau local, les citoyen-nes sont plus susceptibles de s’engager dans le processus politique. Les assemblées municipales, les réunions de quartier et les consultations publiques offrent des plateformes où les individus peuvent exprimer leurs opinions et influencer directement les politiques locales. Ce niveau d’engagement renforce la démocratie participative, augmentant ainsi la légitimité des décisions prises et la satisfaction des citoyens vis-à-vis de leur gouvernement.
Briser les logiques de domination
Les petites instances, comme les associations locales, les groupes communautaires, et même les cercles d’ami-es, bénéficient également de l’intégration de principes démocratiques. Les rapports de domination qui s’y jouent peuvent avoir des répercussions importantes sur le bien-être individuel et collectif. La pacification de ces espaces implique l’établissement de règles claires de participation, la promotion de l’inclusivité, et la garantie d’un consentement libre et éclairé.
Dans le monde de professionnel, la concentration du pouvoir peut créer un environnement toxique propice à l’exploitation et à la marginalisation de certain-es employé-es. Des structures hiérarchiques rigides, où les décisions sont prises de manière unilatérale par une minorité (d’hommes blancs très souvent, même si c’est en train de changer très lentement…), tendent à engendrer des relations de subordination. Ces relations asymétriques peuvent mener à des abus de pouvoir, à du harcèlement, à une inégalité salariale et à une détérioration générale de l’ambiance de travail.
La famille, en tant que cellule fondamentale de la société, n’échappe pas non plus aux dangers de la concentration du pouvoir (généralement masculin). Les dynamiques familiales où un individu exerce un contrôle excessif peuvent mener à des formes variées de violence domestique, allant de l’abus psychologique à la violence physique ou à l’inceste.
En conclusion, l’intégration des principes démocratiques dans tous les aspects de la vie quotidienne est essentielle pour créer des environnements plus sains. Que ce soit dans les entreprises, les familles, à l’école ou dans le milieu associatif, la démocratie doit se manifester par la participation active, la transparence, et le respect mutuel.
Un texte de Corpus
Sources :
(1) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23519643/
(2) https://www.oxfamfrance.org/inegalites-et-justice-fiscale/les-1-pourcent-les-plus-riches/
(3) https://www.welcometothejungle.com/fr/articles/syndrome-hubris-consequences-rh-biais
(4) http://christosaioannou.com/Tajfel%20and%20Turner%201986.pdf
(5) https://www.scienceshumaines.com/mort-de-james-c-scott-l-anthropologue-anarchiste_fr_46837.html
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2 réflexions sur “Sommes-nous dirigés par des hamsters ?”